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Est-ce que TOUT EST FOUTU ? – 4 Clés pour Retrouver l’Espoir

Ta vie n’a aucun sens. Tu crois peut-être avoir un but dans la vie. Tu t’accroches à l’idée que tes actions
ont un sens et que réaliser tes objectifs te permettront d’atteindre le vrai bonheur.

Tu penses qu’une fois que tu auras obtenu telle ou telle chose, accompli telle ou telle prouesse, tu pourras enfin vivre en paix avec toi-même. Mais une petite voix au fond de toi essaye de te ramener à la raison ; et plus tu tentes de la faire taire, plus elle se fait présente.

Cette voix te répète sans cesse la même chose : “ta vie n’a aucun sens”. Et ce n’est que la triste réalité, tu es perdu dans un univers dont tu ne connais même pas les limites, sans savoir pour quelle raison on t’a mis là.

Si tu y réfléchis bien, tu n’es qu’un amas d’atomes en vie sur un gros caillou à la dérive dans l’univers. D’ailleurs, à l’échelle de l’histoire, ta vie ne durera qu’une fraction de seconde.

Un clin d’œil minuscule dans un vide gigantesque… Alors dans ce cas, à quoi bon vivre si tout est foutu ? Si aucune de tes actions ne peut vraiment avoir d’impact, s’il n’y a plus d’espoir… C’est sur cette question que s’est penché Mark Manson, l’auteur du livre Tout est foutu.

Alors si l’on ne peut éviter l’effondrement de notre civilisation, la dégénérescence de notre planète et au final l’extinction de notre soleil et par la même occasion l’extinction de la vie .

.. Pourquoi continuer à se battre ? Est-ce que tout est vraiment foutu ou reste t-il un peu d’espoir ?

1- La dure vérité de la vie est ce qui te donne de la force

Nous avons introduit cette vidéo en te disant que ta vie était complètement insignifiante.

Si nous avons fait ça, c’était dans le but de te faire réfléchir. Tu t’es peut-être dit : “n’importe quoi, je peux apporter ma pierre à l’édifice car je veux sauver l’environnement.

” Ou alors “je veux fonder une famille heureuse et prospère qui permettra à ma descendance un jour de répondre à toutes les grandes questions que nous nous posons sur la vie !” Non en fait, il y a de grandes chances que tu te sois dit : “OK merci je savais que ma vie était insignifiante mais au fond je m’en fous pas mal ! Je veux juste m’éclater le plus possible car de toute façon je vais mourir un jour donc autant en profiter !” En réalité, tous ces avis ont un point commun : l’espoir.

Si la grande majorité des gens vivent leur vie malgré l’absurdité même de celle-ci, c’est parce qu’ils ont de l’espoir. C’est la dure vérité de la vie qui te met devant le fait accompli et te force à te trouver une raison de vivre.

C’est vitale car sans espoir, il n’y a plus aucune raison de continuer à vivre ! Et paradoxalement, c’est parce que la vie est dure que l’on sait apprécier des moments particuliers et éprouver de profonds sentiments de joie et de bonheur.

Ce en quoi tu crois importe peu. Car tout ce qu’il te faut, c’est seulement un minimum d’espoir et de foi en quelque chose.

2- La maîtrise de soi est une illusion

La deuxième grande idée du livre traite du cerveau.

Comme tu le sais peut-être, ton cerveau est divisé en deux grandes parties : le rationnel et l’émotionnel. Si tu penses maîtriser tes émotions à tel point que tu n’es dirigé que par ton cerveau rationnel, tu te trompes ! Ton cerveau émotionnel contrôle la plupart de tes actions.

Quand ton cerveau rationnel se pose une question du style : “Comment gagner plus d’argent ? ” L’émotionnel se demande : “Ai-je vraiment besoin de plus d’argent ?”. Quand rationnellement, tu te demandes : “Comment être certain que ma nouvelle relation amoureuse est la bonne ?” Ton cerveau émotionnel ne se pose pas la question, il a déjà la réponse et cette réponse est OUI ou NON.

Le problème avec le cerveau émotionnel est qu’il n’est pas rationnel. Et donc par définition, tu ne peux pas le contrôler ni même y avoir accès rationnellement. Tu ressens juste les émotions.

A toi donc de savoir les écouter et agir en conséquences. Car les deux cerveaux sont comme des aimants, plus tu les sépares, plus ils agissent en contradiction et plus douloureux sera l’impact lorsque tu n’auras plus la force de les tenir à distance …

3- Vivre, c’est forcément souffrir

Ne profite pas de l’idée précédente pour penser qu’il te suffit de suivre toutes les émotions qui te passent par la tête pour être heureux.

Malheureusement, ce n’est pas aussi simple ! Car tu ne peux pas éviter la souffrance, quoi que tu fasses. La souffrance est la constante universelle de ta vie. Tu souffriras tous les jours jusqu’à ta mort ! Mais la bonne nouvelle est que tu peux apprivoiser cette souffrance et la maîtriser.

Par exemple, c’est en souffrant physiquement que tu développes tes capacités sportives. Plus tu cours, plus tu souffres mais paradoxalement tu deviens capable de courir plus longtemps et plus rapidement sans souffrir.

Il en va de même pour ta carrière professionnelle. Plus tu travailles, plus tu souffres sur des missions difficiles et plus tu deviens efficace et performant. C’est la notion d’anti-fragilité qui est ici développée en rapport avec le livre de Nassim Taleb.

L’anti-fragilité te permet de te renforcer lorsque tu souffres. C’est un peu l’idée de “ce qui ne me tue pas me rend plus fort” Dès lors, la souffrance n’est plus à éviter à tout prix mais te rend plus solide et te permet d’endurer de plus grandes souffrances.

Ce processus n’a pas de fin mais peut t’emmener très loin. C’est ce qu’on appelle la maturité.

4- Grandir, c’est accepter de souffrir

A quoi se résume la vie d’un nouveau né ? Pleurer, dormir et manger.

Lorsqu’il a faim, il pleure. Lorsqu’il a mal, il pleure. Lorsqu’il est réveillé et qu’il ne voit pas sa mère, il pleure. Le nouveau né déteste le minimum de souffrance qu’il ressent et il n’arrive pas à la gérer.

Il s’en fout de savoir que ses parents n’ont pas dormi depuis 3 semaines et doivent aller au travail dans 1 heure. Tout ce qu’il souhaite, c’est qu’il ne ressente pas de souffrance et il le fait savoir.

Lorsqu’il grandit, l’enfant reste dans cet optique. Un pot de glace au chocolat à disposition ? Il le vide sans penser aux conséquences … Sans penser au mal de ventre qui s’en suivra ou à l’énervement de sa mère car ce n’était pas du tout l’heure de faire ça … Toute la vie de l’enfant n’est que recherche de plaisir et évitement de la souffrance.

Cependant il grandit et comprend, ou plutôt on lui fait comprendre, que la vie n’est pas aussi facile, qu’on ne peut pas nager dans les plaisirs constamment. Puis, il devient adolescent. L’adolescent a compris qu’on ne peut pas se goinfrer de glace toute la journée sans conséquences.

Mais l’adolescent n’aime toujours pas la douleur. Alors il cherche à l’éviter le plus possible en négociant avec les adultes. Si je trouve un moyen d’avoir des bonnes notes en travaillant le moins possible, je souffrirai peu et mes parents me laisseront tranquille … Le problème de l’adolescent est qu’en évitant la souffrance, il sacrifie sa liberté.

Etre adolescent, ce n’est pas forcément avoir 16 ans, certains restent adolescent toute leur vie. Ils répliquent l’évitement de souffrance avec leur famille, avec leur partenaire, avec leur chef.

Devenir adulte, c’est choisir sa souffrance. C’est décider du but de sa souffrance et en assumer la pleine responsabilité. L’adulte a compris qu’il ne peut pas éviter la souffrance, donc il choisit à quoi elle servira en se basant sur ses propres valeurs, ce qu’il ressent et ce en quoi il croit profondément.

Et peu importe si les autres ne sont pas d’accord. Il écoute les avis mais essaye d’avoir la vision la plus précise de la réalité et s’adapte en conséquence. Et notre société dans tout ça ? La vérité, c’est qu’on vit dans une société de divertissement qui se comporte bien plus comme un adolescent qu’un adulte.

Tu l’as peut être déjà remarqué, la recherche de divertissement n’a jamais de fin. Il t’en faudra toujours plus pour satisfaire ta soif de plaisir. En revanche, si tu choisis la voie de la souffrance, tu pourras accomplir des choses qui te rendront profondément heureux, car tu auras retrouvé l’espoir ! L’espoir d’un futur meilleur, la fierté d’avoir participé à sa construction même si ce ne sera qu’avec une modeste contribution et surtout la sérénité.

La sérénité de se savoir anti-fragile, prêt à tout encaisser et à accueillir la souffrance à bras ouvert. Car bien que tout soit foutu, c’est à toi de décider que ce n’est pas une fatalité .

.. Cette vidéo a été réalisé en collaboration avec Aurélien de la chaine L’art de réussir. Si tu as apprécié cette vidéo, alors je te recommande vraiment d’aller voir sa chaîne, parce qu’il y publie du super bon contenu.

Si ça t’intéresse, je te mets le lien de sa chaîne en description de cette vidéo. Quoi qu’il en soit, si tu a aimé la vidéo, tu peux la liker et on peut continuer la discussion en commentaires car on les lis tous.

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Source : Youtube

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